Alain Finkielkraut à l’Académie française, c’est la victoire de la pensée libre contre l’étouffant conformisme. Son élection met un terme à l’ostracisme qu’ont à subir le plus souvent les « néo-réacs », ainsi désignés par la bien-pensance. Finkielkraut fait partie de ces compatriotes de fraiche date qui, après avoir découvert la richesse de la culture française, se scandalisent de la voir si peu défendue par ses héritiers. Ce sont ses alertes répétées qui viennent d’être entendues. Il était temps. 

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