La souffrance française a ses bourreaux. Les vandales de la nation sont connus. Ils devraient répondre des désastres qu’ils ont produits. N’ont-ils pas refusé d’entendre ceux qui, depuis quarante ans, les auront mis en garde contre leurs idées infernales ? Aujourd’hui, la France éclatée pleure son récent passé. Revoir les rues filmées dans les années 60-70 fait mesurer les bouleversements que le pays a subis sans que le peuple ait jamais été consulté sur les questions migratoires ou communautaires. Des phénomènes de sécessions territoriales, annonciateurs de possibles guerres civiles, s’étendent sous l’influence d’un islam conquérant mais laissé en paix. Il a pris ses aises dans des cités. Celles-ci acceptent les largesses financières de la République, mais refusent de se fondre dans son modèle et de se reconnaître sans son histoire. Faudrait-il se résoudre à regarder la France se désintégrer, sans que soient inquiétés les malfaisants « humanistes » ? Leur impunité est révoltante. C’est devant le tribunal correctionnel de Paris que se retrouvent, depuis lundi, les anciens dirigeants de France Télécom, poursuivis pour « harcèlement moral ». Les juges devront établir si une stratégie d’entreprise, tendue vers la rentabilité, peut être tenue pour responsable du suicide de salariés. Pourquoi ne pas imaginer, dans cette même recherche d’un lien de causalité extensif entre une décision imposée et ses dommages intimes, que la justice ait un jour à statuer sur la maltraitance d’un peuple ? Le malheur de ceux qui s’estiment victimes d’ »élites » sans affect vaut bien celui de salariés désespérés par des gestionnaires insensibles aux douleurs humaines. L’Histoire, en tout cas, ne devra pas oublier les brutes qui, par haine de soi et fascination pour l’autre, ont vidé la nation de son contenu pour lui substituer un agglomérat de communautés conflictuelles. Un remarquable travail collectif s’est attelé à retracer l’Histoire de l’islamisation française de 1979 à 2019 (1). Les fossoyeurs s’y reconnaîtront. Les déconstructeurs de la patrie – « le pays du père »- seraient bien avisés, dans l’immédiat, de renoncer à leur moraline. (La suite ici) (1) L’Artilleur. Je participerai, ce vendredi, à L’heure des pros (9h-10h30), puis à Ca se ddispute (17h-17h45) sur CNews
S’abonner
0 Commentaires
le plus récent