Les Traîtres : tel est le titre de mon nouvel essai, qui paraît ce mardi aux Editions Pierre-Guillaume de Roux. J’y accuse tous ceux qui, depuis des décennies, ont abandonné la France, en suivant les chimères de l’idéologie mondialiste et universaliste. Ceux qui persistent à mépriser le peuple enraciné et ses revendications alimentent sans cesse la crise de la démocratie. Rien n’est plus urgent que de demander des comptes à ceux qui ont abusé de la confiance des gens. Un nouveau projet de société est également à repenser collectivement, avec toutes les bonnes volontés. La révolution démocratique entamée le 17 novembre 2018 avec les Gilets jaunes est à mener à son terme. Voici un extrait de l’introduction : « Ils donnent des leçons, parlent le globish, disent ce qu’il faut penser. Ils décrètent le bien et le mal, le beau et le laid, le fréquentable et le proscrit. Ces beaux esprits s’encouragent, s’admirent, se cooptent. Mais ils sont les salauds. Ils sont les traîtres. Ils mériteraient d’être traduits en justice pour répondre du saccage de la nation, de la maltraitance de son peuple, de leur collaboration avec l’adversaire. Ils se sont mis à détester la France, à force de lui demander de s’excuser pour son passé esclavagiste, colonisateur, collaborateur. Dans le même temps, ils ferment les yeux sur l’islam totalitaire et pleurnichard, collaborateur du nazisme durant la dernière guerre mondiale, colonisateur de parties du territoire français, esclavagiste dans l’âme. Ce sont ces idiots utiles qui ont accablé d’infamies les Gilets jaunes, ce peuple dissident coupable de refuser la mondialisation et son monde frelaté par le matérialisme. « La République des traîtres est le vrai danger. Ce sont eux qui, par leur fanatisme universaliste, menacent la France millénaire. Pour eux, les seuls ennemis intérieurs sont le peuple enraciné et ses avocats. Les renégats sont prêts à user de la censure pour étouffer les plaintes. Ces messieurs à bonne figure ont trompé le pays qui les a élus. Ils sont plus dangereux que les immigrés extra-européens invités à garder leur mode de vie, ou les musulmans radicaux instrumentalisés par des apprentis-conquérants. Ceux-ci restent des minorités pour l’instant maîtrisables. Encore faudrait-il que l’Etat, résigné et aboulique, recouvre ses esprits et son autorité bradée. « On se sent trahi par les collabos », a lâché Riss, le patron de Charlie-Hebdo, en commentant sur RTL, le 1 er octobre 2019, la lâcheté des belles âmes après l’horrible attentat islamiste contre son journal, le 7 janvier 2015. Ce sentiment de trahison, je l’éprouve aussi depuis longtemps. Je sais que je ne suis pas le seul. Voici pourquoi…. » Ce média n’est plus disponible Je participerai, ce lundi, à L’Heure ds pros 2, sur CNews (20h10-21h)

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