Maintenant ou jamais. Les dirigeants somnambules doivent se réveiller face à l’islam déchaîné. Sinon, les Français n’auront plus comme choix que la soumission ou la guerre civile : ceux qui refuseront de se plier aux interdits de l’islamo-fascisme ne pourront compter que sur leurs propres forces pour résister. La décapitation au couteau d’un professeur d’histoire-géographie, vendredi dernier dans une rue d’Éragny (Val-d’Oise), ne peut plus se contenter de cérémonies nationales et de mots en l’air. Déclarer : « Ils ne passeront pas ! », comme l’a fait Emmanuel Macron après le crime, est inutilement déclamatoire. Le président sait, mieux que quiconque, que l’ennemi a infiltré la société et bien des rouages de l’État. Le jeune djihadiste tchétchène qui s’est acharné sur Samuel Paty, à la sortie de son collège de Conflans-Sainte-Honorine, est le produit conjoint de l’islamisme démoniaque et de la République angélique. La démission française a fait le nid de la terreur. Voici trente ans que quelques lanceurs d’alerte hurlent dans le désert. Votre serviteur peut témoigner de la lâcheté des donneurs de leçons, déserteurs aux yeux clos. Le chœur médiatique n’a jamais voulu entendre que des propos « racistes » et « haineux » chez ceux qui mettaient en garde contre l’islam politique et son goût du sang. Ces dénégationnistes sont les premiers dangers. Certains, certes, se ressaisissent. Il n’empêche : ils demeurent à la source du cauchemar français. Eux et les idéologues de la culpabilisation ont rendu la nation honteuse, dépressive, désarmée. En arrachant sa fierté à la France, ils ont creusé un vide dans lequel le Coran impérieux s’est installé. C’est la charia (loi islamique), appliquée ici et là dans des cités, qui a permis au bourreau de trancher la tête de « Monsieur Paty », coupable d’avoir enseigné la liberté d’expression à ses jeunes élèves en leur montrant des caricatures de Mahomet, parues dans Charlie Hebdo. Rien ne serait plus contre-productif, en réaction, que la mise sous surveillance des réseaux sociaux, tenus pour responsables de la tragédie. (La suite ici). Je participerai, ce vendredi, à L’heure des pros, sur CNews (9h-10h30)
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