Se réveiller ou mourir. Cette fois, la France est arrivée au bout de son somnambulisme. La décapitation au couteau d’un professeur d’histoire-géographie, vendredi dans une rue d’Eragny (Val d’Oise) par un jeune réfugié tchétchène, est le résultat de trente ans de lâchetés collectives face à l’islam radical. L’aveuglement des sermonnaires a conduit à la mise en application de la charia (loi islamique) dans toute son horreur. C’est le Coran pris à la lettre qui permet, en effet, de couper la tête du blasphémateur, mais aussi d’égorger le Juif, le Chrétien, le mécréant. Samuel Paty, enseignant au collège du Bois d’Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), avait donné à étudier des caricatures de Mahomet, dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression. Pour cette raison, des parents d’élèves musulmans avaient demandé à sa hiérarchie qu’il soit sanctionné. Les réseaux islamistes, appuyés par un imam fanatique, ont contribué à armer le bras du tueur, après avoir répandu une sorte de fatwa. Ce lundi sur Europe 1, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré : « Nous sommes en guerre ». Le 16 mars, Emmanuel Macron usait de la même expression contre le Covid-19. Mais cette fois, il s’agit pour la France de se battre, et non de se calfeutrer. Face à la monstruosité de l’islam déchaîné, la République ne peut plus trembler, ni s’excuser encore de son passé ou de ses règles. Les bougies, les peluches, les petits cœurs et les « vous n’aurez pas ma haine » sont autant de signes de faiblesse qui n’ont plus leur place. Les manifestations n’ont plus guère de sens non plus. Surtout quand elles accueillent, comme hier à Paris, des mouvements qui ont choisi de flatter électoralement le communautarisme islamique. C’est sans vergogne que la France Insoumise, la Ligue des Droits de l’Homme, le Snes et biens d’autres organisations ont appelé à manifester comme le crime djihadiste. Or ces traîtres étaient, le 10 novembre, dans les rues de Paris avec les islamistes pour dénoncer l’ « islamophobie », ce permis de tuer qui est aussi la raison sociale du CCIF (collectif contre l’islamophobie en France), dont Darmanin souhaite la dissolution. L’Etat doit faire en sorte de chasser hors de France les adeptes de l’islamo-fascisme. Mais il appartient également aux Français de faire le procès des lâches et des « collabos » qui, à droite comme à gauche, ont progressivement cédé le pays aux minorités conquérantes, au nom de la repentance, du métissage, de l’excuse sociale et des droits de l’homme, cet allié du totalitarisme coranique. La nation, acculée, ne peut plus reculer. Je participerai, ce lundi, à Points de Vue sur Figaro-TV (17h-17h30) puis à L’heure des pros 2, sur CNews (20h-21h) Mon entretien à Breizh-Info, donné samedi et paru ce mardi. Je participerai, mardi, à L’heure des pros 2, sur CNews (20h-21h)

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