On ne se méfiera jamais assez des journalistes. Ils restent généralement ce qu’ils sont : c’est-à-dire des témoins. Et François Hollande aurait du s’en souvenir, quand il a congédié Valérie Trierweiller. C’est aussi la liaison, malsaine, de la politique et des médias qui explose avec ce règlement de compte. La leçon à en tirer est simple: la politique et les médias ne sont pas faits pour vivre en proximité. Encore moins pour faire chambre commune. En France, les mœurs journalistiques tolèrent ces cohabitations, parfois poussées. On en voit les dégâts.v
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