Cela fait des années que des représentants de la communauté juive mettent en garde contre la montée de la judéophobie dans les cités, annonciatrice de rejets anti-Français. Eh bien ! Nous y voilà. L’opinion médiatique découvre, abasourdie, ce qui se sait et s’écrit dans l’indifférence des « antiracistes » depuis près de vingt ans : oui, il existe un islamisme de France ; oui, il est porteur d’un nouvel antisémitisme ; oui, il peut dériver vers le terrorisme ; oui, il a des liens avec le grand banditisme. Cette réalité a été confirmée avec le défèrement, hier, de sept suspects, tous indigènes et majoritairement convertis, qui projetaient des attentats antijuifs dans leur djihad contre la France. S’il existe un risque de néofascisme, il germe dans les ghettos qui contestent l’autorité de l’État.Cette réalité ne peut plus être occultée, au motif qu’elle ne concernerait que quelques milliers de fanatiques. Ils prennent de l’ampleur et leur idéologie suprémaciste insulte la république. Ceux qui, au PS, voient le retour de la « peste brune » dans la tentation d’une partie de l’opposition de se droitiser restent muets devant l’appétit islamiste pour la guerre civile. Bruno Le Maire (UMP) se trompe aussi quand il assure : « Comparer islamisme et nazisme n’a pas de sens. » Citons le grand mufti de Jérusalem Haj Amin al-Husseini, allié d’Adolf Hitler : « Les principes de l’islam et ceux du nazisme présentent de remarquables ressemblances, en particulier dans l’affirmation de la valeur du combat et de la fraternité des armes, dans la prééminence du chef, dans l’idéal de l’ordre (…) » . La mollesse des moralistes vis-à-vis de l’islam radical est un scandale permanent, au vu de la mise en péril du « vivre ensemble » dont ils se disent les gardiens. (La suite ici)

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